Le joli
voyeur est toujours là, il a la main sur son entrejambe gonflée. Je lui fais
signe. Il a toujours l’air un peu paumé, et là, il est surpris. Quelques pas,
il se rapproche. Je lui tiens la portière pour qu’il monte. Je me demande
quelle voix il a. Nous n’en sommes plus là. Il est assis dans la voiture. Je
ferme la porte, je verrouille la voiture. Ça fait longtemps que j’en ai envie. Il
sourit et ses yeux doux s’éclairent de fines rides aimables. Il a la tête
tournée vers moi et se rapproche pour me rouler une pelle magistrale. J’aime
bien le goût de sa salive. Sa main se tend vers la ceinture de mon jean,
l’ouvre, farfouille. Je suis excité comme un pou, tendu, dur sous ses doigts.
Il lâche un soupir réjoui. Il dégage ma queue d’un air ravi et la flatte comme
un petit animal. C’est vrai que c’est une belle bête. Au boulot camarade !
Il me branle
obligeamment d’une main, et lui de l’autre. Tiens, je n’avais pas remarqué
qu’il avait ouvert son pantalon lui aussi.
Ses lèvres
entourent mon gland. Il se repait longuement de mon bout. Je sens son souffle
tiède sur ma gaule. Sa bouche glisse dessus tout doucement, il m’enfourne
vraiment jusqu’à la glotte. Il peut ? Il peut. Jusqu’au fond, toute la
longueur de ma bite turgescente disparait entre ses joues. Il va me faire jouir
en quelques secondes s’il continue. Il la ressort, l’engloutit à nouveau. Je
sais que c’est éprouvant, mais qu’est-ce que c’est bon ! Sa gorge se
resserre en spasmes éblouissants autour de mon nœud. Il me fait coulisser, pas
trop vite pour ne pas s’étouffer. Ses deux mains s’insinuent vers mes fesses.
Il perd un peu la cadence, il s’agrippe à mes deux globes. Il retrouve son
tempo languissant, ses doigts progressent en mesure vers ma raie. Il écarte,
tout en me pompant. Je sens un majeur conquérant s’approcher de mon cul. Il
titille, s’invite, entre, s’installe. Il me suce en profondeur et fait aller et
venir son majeur dans mon petit trou accueillant. C’est trop, je vais jouir. Je
sens la bête prête à jaillir, il doit le sentir aussi. Son doigt devient
diabolique, il m’aspire la queue à
pleine gorge, je vais l’asphyxier de jute. Il s’applique furieusement, je
grogne, et j’explose. Il me boit à grande lampées, lèche et pourlèche mon
sperme tiède. Il garde ma bite toute heureuse et toute flasque dans ses joues.
Puis il
relève une tête un peu barbouillée. Je lui passe une lingette, la bouteille
d’eau. Il boit longuement. Et il prononce : « ça te dirait qu’on se
revoie ? ». Tu m’étonnes. Tu as la voix profonde comme un ravin, je
crois que je suis amoureux.
J'aime toujours autant... Certainement avec un penchant pour celui-ci. ^^
RépondreSupprimerJe craque pour la voix profonde comme un ravin :))
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